De Choisy-le-Roi à Chartres, ils ne regrettent pas leur choix

Lui a 75 ans, elle 63 ans, à ce moment-là et avouent qu’ils ne « supportaient plus la vie en Ile-de-France ». Un choix qu’ils ont d’autant moins regretté quand cinq mois après leur arrivée à Chartres, le confinement général a été imposé. « On a vécu cette période tranquillement dans une grande maison », se souviennent-ils. Patricia évoque le souci qu’elle se faisait pour sa famille restée à Paris :  « J’en pleurais de savoir mes enfants et mes petits-enfants enfermés entre quatre murs dans leur appartement parisien alors que moi, je profitais de ma maison avec mon jardin et la proximité de l’Eure… ».

Rien ne les prédestinaient au choix de l’Eure-et-Loir. Ils racontent l’histoire de leur venue dans le département : C’est un heureux concours de circonstances qui les ont amenés à choisir de s’installer en Eure-et-Loir.

« Nous cherchions plutôt dans l’ouest parisien. Mais tout était très cher. Et puis on nous a dit : si vous cherchez une vraie ville, allez voir du côté de Chartres. Nous avons passé une nuit et une journée sur place, pour sentir la ville. Il y avait tout ! Restaurants, lieux culturels, une ambiance sereine avec des commerçants qui disent bonjour et des automobilistes qui laissent passer les piétons !  » 

Et puis il y a eu cette grande maison pas trop loin de la ville mais dans la verdure, à un prix abordable. « La maison est plus grande que celle que nous avions à Choisy-le-Roi, le cadre plus agréable et son prix plus raisonnable qu’en région parisienne », conclut Patricia.